vendredi 1 octobre 2010

Je viens chez toi, chez nous ?

Je marche et … TAC je la vois (un hasard ?)– un instant pour les imaginations, les rêves, les « je te veux toi » pour une nuit (le corps crie) et/ou pour la vie (l’esprit espère que demain …)

Un verre dans un bar, lieu public, lumière tamisée – je la regarde et interprète chaque signe d'elle – oui ses signes, ceux qui vont me permettre de croire en « tu me fais des signes pour … ».. ohh là, et ... TAC, elle lève la main puis regarde autour d’elle – des signes ? Comment réagir, que faire ? ça se bouscule - Que je suis béta, elle arrange ses cheveux et s’est laissée surprendre par un bruit de rue.. passons

Une promenade à ses côtés le long d’un fleuve et puis dans ma tête, je me fais mes films genre : « tes mains se rapprochent des miennes, je les prends ou je m’éloigne exprès » pour qu’elle se pose TROP de questions – toujours ces moments TAC où pour moi, je me demande : mais qui contrôle quoi ? Elle ou moi ?? ohhhhh le jeu de la séduction – et si je ne lui plaisais pas, pas du tout, un peu, beaucoup, de TROP, comment savoir, elle pense à quoi, à moi, à son ex, à qui, à personne ? Bizarre la nana, je n’y comprends rien ! Dans mon film, on se roule dans l’herbe et on s’embrasse sous un arbre, ombre enveloppante - le seul problème là, c'est que l'herbe est super loin de l'eau et surtout au soleil – super classe le film quand même, film tout âge, interdit aux pas assez romance ! Il repasse tellement – bis bis bis.. Oui mais envie de cliquer sur « pause le temps » - instants magiques, deux au bord de l’eau, éclaircies du jour assombries par la nuit montante.. Deux au bord de l’eau, des souvenirs en nombre – passons

Ce soir, je l’invite mais pour détourner l’attention, j’organise une sortie en groupe, elle ne verra pas ou moins ou ché pas – elle ne verra pas que je ne vois qu’elle et que mes yeux se noient dans son regard – elle est belle - à moi, c’est certain, elle me plait tant, c’est elle mais, ce « mais » là, ce mais parce que je ne sais pas – ohhh, passons.. En même temps, soirée en groupe, le danger se présente « mais et si dans le groupe, un autre que moi … » - mais non, elle mérite bien que je prenne des risques pour elle – « tu me plais, j’en suis désormais certain, les autres n’existent pas », ils sont là pourtant, c’est moi-même qui leur ai demandé de venir.. J’aurai dû ? ché pas, ché plus, il n’y a qu’elle – chsuis perdu – ils partent quand ? Mais s’ils partent, elle aussi, elle partira – ohhhhh non « restez s’il vous plait » passons

Le premier baiser, danse slow improvisée dans ma tête – ah non, c’est tout l’environnement qui danse – mais SI, promis – moment hasard chopé dans une rue – la croiser, je n’y pensais pas, elle s’approche de moi tout sourire et QUEL sourire – pour moi tout seul celui-là - EXCLUSIVITEEE – forcément, enfin pour moi, je lui souris, lui dis « salut, tu vas bien ? » mais je crois qu’elle ne m’entend plus ou sans doute, je n’ai lâché aucun mot – y’a eu mon TAC-baiser – seul le souvenir de la douceur de ses lèvres me saisit – j’me souviens déjà plus comment etc. – elle est ultra, unique, je l’aime « je t’aime », elle me manque « tu me manques lorsque je ne te sens plus tout près là près de moi ».. passons

Les rendez-vous s’accumulent un peu, beaucoup, de TROP, (de trop ?) et puis les premiers contacts physiques – c’est la meilleure de toutes « je voyage si loin avec toi en moi ou moi en toi », je ne sais jamais comment on dit – c’est comme en anglais, je parle tellement bien la langue que j’hésite toujours pour traduire « tu me manques » - « you miss me » ou « I miss you » bref, passons – la première fois que je l’ai vu, j’ai eu ce « je te veux toi » - et maintenant ? « Je reste chez toi ? Pour la nuit ? (OUI) Pour la vie ? » oui, enfin si tu veux, jusqu’à demain au moins ? » - en même temps, je suis bien conscient de perdre sans doute des lecteurs là – attention attention – c’est comme quand on se marie, on dit oui aujourd’hui, ben oui on le croit ça mais demain – ça me fait penser à un film que j’aime, le cœur des hommes2, le très séduisant et plus âgé des acteurs qui face à sa fille larmoyante lui dit « oui enfin, tu sais, l’amour éternel, ça a été inventé quand l’espérance de vie était fixée à 35 ans » - vous me détestez ? passons

Et TAC, je vis avec elle et puis ensuite, c’est souvent que les histoires débutent – comme il le chante mister Cabrel « y’a pas d’amour sans histoires » - elles sont toutes différentes – si compliquées parce que si incomprises finalement – passons et TAC c’est la fin..
                                                          Louis-Xavier

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